Fin mars dernier, en plein début de crise du coronavirus en RDC, Félix Tshisekedi se décide à créer, par ordonnance présidentielle, l’Agence de prévention et de lutte contre la corruption (APLC). Trois semaines plus tard, pour ” accompagner ” cette nouvelle structure, il recrute, ” sur proposition du PNUD “, l’agence de l’ONU pour le développement, l’avocat et opposant politique camerounais Akere Muna. ” Pas trop tôt “, murmure-t-on dans le milieu des ONG congolaises, qui appelaient depuis des mois le chef de l’Etat à tenir ses promesses de candidat à la présidence…